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Cours de français en ligne (par B. MIRGAIN)

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Bernard.Mirgain@ac-nancy-metz.fr

Mise en ligne de cours de français. Aide gratuite pour les élèves.

http://www.lycee-pmf-epinal.fr

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L'ECOLE DES FEMMES. MOLIERE. ECRITURE D'INVENTION. CRITIQUE DE LA PIECE.

                              L'ECOLE DES FEMMES

                           ECRITURE D'INVENTION
 
Sujet : vous êtes un chroniqueur de Vosges Matin ; vous venez d'assister à la représentation de la pièce de Molière, « L'Ecole des femmes ». Vous rédigez cet article qui sera publié dans ce journal.
 
Consignes à respecter dans votre copie
 
*mêler les registres de l'éloge et du blâme
*employer le vocabulaire technique du théâtre et utiliser le présent de narration
* trouver un titre pour cet article de presse, penser à un court propos introductif et conclusif, prévoir des sous-titres en guise d'accroches (chapeaux en caractères gras permettant de circuler d'une partie à une autre) ; signer avec un pseudonyme
*veiller à la pertinence intellectuelle et à une liberté de ton, à la bonne tenue et à la correction de l'écriture
*par petites touches, on abordera le spectacle sous tous ses aspects : scénographie (mise en scène et aménagement de l'espace), décors, costumes, accessoires, lumières et effets sonores, jeu des acteurs sur le plateau de scène, justesse du ton, de la voix, présence du corps...

Modèle proposé par le professeur en guise de reprise professorale :


         
           Dans « L'Ecole des femmes », Molière nous invite à une prise de conscience collective à propos du poids de l'héritage culturel, des traditions patriarcales, et surtout de la condition féminine. Molière défend la cause des femmes dans ce plaidoyer bouleversant en faveur de leur émancipation.  

Il jette le discrédit sur une société engluée dans  des préjugés, sur un fond de misogynie qui en dit long du regard porté sur les femmes à cette époque.

Un spectacle réussi sur le plan plastique et scénographique...

Tout se joue dans le périmètre d'une scène entre deux lieux : le devant de la scène qui rapproche frontalement  les personnages des spectateurs, et puis l'arrière-fond labyrinthique, qui symbolise l'enfermement d'Agnès,  le huis clos fantomatique de la femme opprimée. Deux lieux qui constituent le champ (l'avant-scène entre la rampe et le rideau) et le contre-champ derrière les pendrillons pour matérialiser une vie maintenue à l'écart, la privation de la liberté d'aller et venir...

Dans ce lointain, à l'aplomb du mur du fond  (mur de scène clôturant l'espace scénique), baigné par des jeux de lumières gradués, souvent diaphanes, se déroulent les scènes de la vie intime. Lors de la fuite en catimini des amants, des nuances tamisées d'un clair-obscur, un projecteur en douche et des fumigènes suffisent à rendre visible une ruelle sombre. Le procédé mis au point par le régisseur lumière Pascal Sautelet est d'une habileté astucieuse. A d'autres moments, des éclats de lumière font flotter des promesses de lendemains.

Autre motif de satisfaction, la magie du décor remarquablement agencé en fonction de la géographie des espaces scéniques. Un décor à la nudité grège, qui se combine harmonieusement avec le resserrement extrême de l'action dramatique : une charpente en bois en forme de beffroi ou de pagode, servant aux entrées et sorties, une véranda délimitée par une toile gondolante  de satin blanc (pour des effets boule à neige), une courette, un balcon sans garde-fou. Les décors sur châssis, les faux murs rehaussés de touches picturales sont aménagés subtilement pour éviter la congestion des trafics sur le front de scène. Les tracés sont soigneusement étudiés par le décorateur Jean Haas pour marquer le point de séparation entre les lieux publics et l'espace résidentiel. Les décors, les costumes et les accessoires, on le sait trop bien, mettent en image les grands textes littéraires... 

Seule réserve, ce drap de lit maculé de sang, étendu sur une corde à linge. Entre deux pinces à linge,  une dépouille de bête écorchée, pendue  à un croc... Un  lapin dépiauté, le sang giclant  au pied d'un cuvier en bois où Agnès, le décolleté de sa nuisette rabattu sur sa taille, se fait savonner. Que cherche-t-on à dévoiler, en dehors des bouffées de désir de cette jeune fille ? Son c½ur ensanglanté  offert en sacrifice à un mufle implacable? Le drap blanc représenterait-il des apparitions en suaire ? Certes, la pupille se trouve dans de mauvais draps... Ce linge l'envelopperait alors comme un linceul ? Ce rideau de sang, symboliserait-il la puissance de subversion du mal ? la sentine exécrable du vice ? Laisse-t-il deviner que la pupille d'Arnolphe aurait perdu ses gants ?
Dans la célèbre scène 6 de l'acte I, pleine de forfanterie dans ses réparties, elle trouve « le beau jour » (le grand jour des filles nubiles) « fort beau ». Avant de prononcer, avec une finesse d'esprit polissonne, la sentence énigmatique : « le petit chat est mort ». Une allusion à des étreintes consenties ?

Des acteurs de théâtre  au talent prometteur...

      Les acteurs sont dans l'ensemble formidables, qu'il s'agisse de Patrick Parroux, Valentine Galey ou Pierre Lefebvre. Ce sont d'excellents comédiens qui jouent ici, chacun joue sa partition à merveille. Philippe Adrien remet sur le métier Patrick Parroux, acteur fétiche des grands metteurs en scène d'aujourd'hui. Et celui-ci fait des étincelles, que ce soit depuis le surplomb d'une échelle de meunier ou au milieu du public de parterre. Il impose un rythme étourdissant à la pièce grâce à la sobriété du geste, aux fulgurants éclairs de son regard, à la maîtrise de sa voix suggérant de discrets envoûtements. Une interprétation flamboyante, toujours au plus proche de ce que Molière a écrit. Un talent qui ne se dément pas... Parroux donne de l'épaisseur au personnage d'Arnolphe, plein de suffisance, bouffi d'orgueil, diabolique, même au bord de l'abîme et sur le point de tout perdre.

Agnès est une héroïne aux prises avec le sadisme de son persécuteur. Une morte-vivante, clouée dans le silence, sous la férule d'un barbon despote et peu compatissant. La comédienne Valentine Galey parvient avec bonheur à se mettre dans la peau de cette jeune fille naïve, touchante de simple sincérité. Mais Agnès, c'est aussi une personne mutine et décidée, qui refuse de courber l'échine, qui ne cesse d'opposer des refus définitifs à son suborneur. Son indomptable courage exprime la révolte qui bouillait en elle-même. Avec une belle obstination qui force l'admiration. Elle a le courage de parler à c½ur ouvert, sans arrière-pensées. L'interprétation de Valentine Galey donne de l'éclat à la présence du corps féminin,  obstinément vivant sur les planches de la Rotonde. Ce qui ne nous laisse pas insensible. Une mélodie musicale, emmenée par une harpe, enrobe avec élégance et délicatesse les entrelacs vocaux de la comédienne. Le choix artistique de l'ingénieur du son, Stéphanie Gibert,  éveille des résonances à faire danser les étoiles...

Horace, le fils d'Oronte, fait chavirer le c½ur de l'orpheline désespérée. Talentueusement, Pierre Lefebvre incarne l'impétuosité endiablée, la vivacité turbulente de la jeunesse. Il déjoue toutes les chausse-trapes. Ou presque. Ce feu follet qui n'a rien d'un coquebin  décoche ses flèches satiriques, tambour battant.  L'amour lui gonfle les poumons ! Horace ne se départit pas de sa verve qui déborde et renverse tout. Sa fougue juvénile génère une chaleur contagieuse.

Agnès et Horace forment un duo dont le jeu batifolant tourne le dos à l'emphase déclamatoire.  Ces deux tourtereaux vont se tenir lieu de tout et compter pour rien le reste. L'attirance l'un pour l'autre reste vive tout au long de ces tribulations au comique réjouissant. C'est finalement ce couple promis au bonheur qui émoustille les spectateurs. Ces deux  artistes, particulièrement investis dans leurs intentions de jeu, touchent le public, tant sonnent juste leur générosité et leur sincérité. Le charme de la pièce tient en bonne partie au talent consommé de ces artistes, à ce jeu sans fioritures qui infuse une force tragique d'une justesse rare.

Un éparpillement du talent, lorsque talent il y a...

Alain, le paysan et valet d'Arnolphe et Georgette, la servante, sont des esprits finauds et taquins dans la pièce de Molière. Très mauvais dans les rôles secondaires, les deux comédiens interprétant ces rôles  nous laissent de marbre. On les voit se tortiller comme des pantins fantoches, déglingués, dès la première scène dans le patio. Armés de serfouette, arrachant des poireaux d'hiver dans un carré de potager, ils ont plutôt l'air de pagayer sur le radeau de la Méduse... Ces gesticulations à grands cris dans l'arrière-scène, au second plan, nous font chavirer dans les plus bizarres élucubrations de « Bibi Fricotin chasse le Yéti ». Même pas drôle. Clopin-clopant, ces deux lascars se prennent les pieds dans un rôle de convention : Georgette, aux allures de tôlière, de babouchka gibbeuse et édentée, Alain, le domestique empoté, « ce lourdaud-là », cette « impertinente bête » aux dires de Monsieur De La Souche (Acte I, scène 2), déboulent sur le plateau, en bondissant  tels des marsupiaux protothériens. Le pas est claudicant, à l'image de l'articulation toussante de la fameuse réplique « J'empêche, peur du chat, que mon moineau ne sorte »... Sans parler des phrasés raides, des accents gascons d'une niaiserie absolue, de ces vocalises traînantes qui finissent par rendre le texte inaudible.

Ces deux marsupilamis, sans doute évadés d'un spin-off des aventures de Spirou, baragouinent d'une façon inintelligible, grommelant d'un air grognon des « doudlidoudli » « touboudl » « doubedouba » et « houlala » jusqu'à plus soif. Un pot-pourri de borborygmes scande cette pantalonnade foutraque, cette espagnolade  grandguignolesque, en porte à faux par rapport à la profondeur de la tragédie qui se joue sous nos yeux. Ces onomatopées tonitruantes résonnent encore dans nos oreilles endolories... En matière de lip sync débile, on préférera les karaokés en play-back de Motoki Maxted, parodiant les chansons de Noël de Michael Bublé ! Au moins, c'est drôle !  Ces deux cacochymes grognons et mal embouchés ne s'économisent pas pour faire sombrer la pièce.  Il n'y a pas à barguigner : les ratés de la pièce sont immanquablement redevables à nos deux Bidochon travestis à outrance qui battent des bras à l'unisson, tels des experts du kung-fu.  Et malgré tout le respect que l'on doit au metteur en scène Philippe Adrien, c'est un duo qui n'est pas à la hauteur.

En matière d'efficacité comique, on ne risque pas de trébucher de rire. On tombe plutôt dans le troisième dessous. Ce jeu rafistolé, trop forcé, embarque les spectateurs dans des embardées de mauvais goût. Leurs chamailleries nous font penser aux gags ringards des Looney Tunes dans Space Jam, en plus nul... Ce jeu glacé, d'une désespérante lenteur, digne d'une baraque de foire ou du théâtre de garnison,  n'évite pas le massacre, au détriment de l'½uvre intemporelle de Molière...  Leurs pantomimes déréglées et leurs mimiques faciales outrées tiennent plus du numéro de pétomane que du comique moliéresque. L'exaltation sans contenu, jusqu'à saturation, cette frénésie à vide, ont de quoi effarer. Plus renversant encore, c'est le cas de le dire, cet intermède où Alain s'adonne à des bicheries répugnantes sur le postérieur arrondi de Georgette, tel un coq battant des ailes sur le croupion déplumé d'une volaille. Cette balourdise grossière appartient à la pornographie des bordels à soldats.

D'autres gags, passablement infantiles - on pense à la scène du râteau - auraient de quoi vous convulser de rire, si vous étiez restés à l'âge où l'on saute à l'élastique sous le préau des maternelles. Qu'à cela ne tienne ! En tous les cas, à revoir à tout prix si l'on a raté un numéro des Minikeums ! Comme jeu d'abattage, il n'y a pas pire. Si, peut-être chez « Les Compagnons d'Eleusis ». Force est de constater que nos freluquets hissent la crétinerie au rang d'art supérieur !  Que dire aussi de la scène du remonte-plat à la fin de l'acte IV ! Le côté jardin transformé en point de ravitaillement, avec pieds de cochons farcis servis à l'assiette. Chrysalde, l'ami d'Arnolphe, s'empiffre goulûment. Une tartarinade de plus.  Un repas vite avalé, entre la poire et le fromage, comme par ailleurs les alexandrins de Molière, estropiés à souhait, avec la même goinfrerie. Chrysalde se distingue plus par son coup de fourchette que par son art de déclamer des vers. Sans parler de cette fumée à estourbir le bougnat et la foule de spectateurs du premier rang, en grand danger d'asphyxie. Pourquoi faire défiler ces volutes de fumée ?

Si l'on regrette l'excès du funambulesque qui recherche l'effet au détriment de la profondeur, des « improvisades » à l'italienne (celle des farces un peu enfarinées), on s'affligera encore plus du jeu austère, ascétique même, d'Enrique, le beau-frère de Chrysalde, d'Oronte et du notaire. Tout est plat avec eux. Pourquoi ces silhouettes tout de noir vêtues ? On dirait une bande de branquignols tout droit sortis du film Rabbi Jacob, les chorégraphies ashkénazes en moins. Ils sont accoutrés d'un chapeau de feutre, d'un pantalon noir avec bretelles, comme des fermiers amish. Sans le râteau à foin, on a déjà donné !

En quoi la perruque loubavitch, les cheveux tressés en nattes, les longues barbes salafistes, les papillotes et  rouflaquettes permettraient-elles une meilleure lisibilité de la farce moliéresque  et de son intrigue ?  Bien après la sortie du spectacle, on se le demande encore. Une resucée du film américain « Witness » ?

On ne comprend pas un traître mot aux oraisons talmudiques, aux palinodies babéliques  de ces pieds-nickelés aux allures de rabbin, qui nasillent avec l'accent pennsylvanien un patois yiddish, un volapük transcaucasien, ou berrichon, on ne sait trop. Ces accents taillés au burin écrasent les répliques les unes sur les autres et ne facilitent pas la compréhension du dénouement. Leurs voix se perdent dans le vide à l'instant décisif du rebondissement, de la volte-face de l'intrigue à la fin de l'acte V. On ne s'explique pas ce choix.

Dans les scènes 7, 8, 9 et 10, les échanges entre Oronte, Enrique et Chrysalde  sont perçus de trop loin. Le jeu est trop distant, figé, et à contretemps. Ces interprètes au visage impassible, fermé, qui semblent avoir oublié le sens de la marche, oublient une chose essentielle : le théâtre de Molière est avant tout une fronde joyeuse.

C'est le seul reproche qu'on fera au metteur en scène : la direction d'acteur manque de maîtrise, ou plutôt ne s'affirme pas assez pour donner chair à cette galerie de seconds rôles.
                                                                                         Garmini

Lien pour lire certaines copies des élèves de cette classe de Seconde :

http://bmirgain.skyrock.com/3306906684-MOLIERE-ECRITURE-D-INVENTION-EN-SECONDE-COPIES-DES-ELEVES.html

Conseils de lecture

*« Dictionnaire intime des femmes » - Laure Adler - éditions Stock – décembre 2017
*« Les deux coqs » - Andersen - éditions Albin Michel, Collection « Jeunesse » - 2017
Autre étude sur "L'Ecole des Femmes" sur ce même blog :

http://bmirgain.skyrock.com/3292114136-L-ECOLE-DES-FEMMES-MOLIERE-ACTE-II-SCENE-5-DECOUPER-UNE-SCENE-DE.html

 
                  Théâtre de la Rotonde avec la compagnie ARRT.
 
Mise en scène : Philippe Adrien
avec Patrick Paroux, Valentine Galey, Pierre Lefebvre, Joanna Jianoux, Gilles Comode, Pierre Diot, Raphaël Almosni, V. Ant
Collaboration artistique :
Clément Poirée
Décor :
Jean Haas
Lumières :
Pascal Sautelet
Musique et son :
Stéphanie Gibert
Costumes :
Cidalia Da Costa
Maquillage :
Sophie Niesseron et Pauline Bry
Direction technique :
Martine Belloc


                   Lien avec le site internet de Scènes Vosges :

                                           https://www.scenes-vosges.com/

               Pour visualiser en format PDF le dossier pédagogique   
                       
https://www.latempete.fr/spectacles_ressources/16_17/2635/dossier_enseignants_ecoledesfemmes.pdf

Liens avec d'autres écritures d'invention sur le théâtre :

http://bmirgain.skyrock.com/3288206352-LABICHE-ECRITURE-D-INVENTION-SERIE-S.html

http://bmirgain.skyrock.com/3284470762-ECRITURE-D-INVENTION-SKETCHE-DE-VISNIEC-FICELLE-COPIES-D-ELEVES-DE-1-S.html

http://bmirgain.skyrock.com/3242848078-Repondre-a-une-critique-de-theatre-ECRITURE-D-INVENTION-Filiere-ES-ou.html

http://bmirgain.skyrock.com/3284230744-MATEI-VISNIEC-FICELLE-ECRITURE-D-INVENTION-CLASSE-DE-PREMIERE-S-ES-L.html

http://bmirgain.skyrock.com/3240314677-BRITANNICUS-SCENE-1-ACTE-I-ECRITURE-D-INVENTION-EN-SECONDE.html

Production déléguée : Théâtre de la Tempête, subventionné par le ministère de la Culture, avec le soutien de l'Adami
 
Compagnie ARRT

Mise en scène : Philippe Adrien

Patrick Paroux, Valentine Galey, Pierre Lefebvre, Joanna Jianoux, Gilles Comode, Pierre Diot, Raphaël Almosni, Vladimir Ant

Collaboration artistique :

Clément Poirée

Décor :
Jean Haas

Lumières :
Pascal Sautelet

Musique et son :
Stéphanie Gibert

Costumes :
Cidalia Da Costa

Maquillage :
Sophie Niesseron et Pauline Bry

Direction technique :
Martine Belloc
L'ECOLE DES FEMMES. MOLIERE. ECRITURE D'INVENTION. CRITIQUE DE LA PIECE.
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#Posté le mardi 05 décembre 2017 13:35

Modifié le mardi 14 août 2018 04:37

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