L'ironie ou la complicité de malfaisance dans Dom Juan
La comédie « Dom Juan ou le Festin de pierre » fut représentée pour la première fois le 15 février 1665 sur le Théâtre de la Salle du Palais Royal, par la « Troupe de Monsieur » (Philippe de France, frère du roi Louis XIV, second fils de Louis XIII, né en 1640 et mort en 1701).
On peut considérer la pièce de Molière, à l'échelle macrostructurale, comme une épitrope. Cette figure de style ou tour rhétorique consiste à adopter, par ironie, une posture impassible où l'on va dans le sens de son récepteur avec excès, au-delà de ce qui serait raisonnable. Molière inviterait donc son public à persévérer dans son erreur. Tout au moins, il ne laisse pas apercevoir le véritable point de vue qui est le sien.
D'où ces paroles sardoniques qui foisonnent dans les répliques de Dom Juan qui montre une moquerie amère, froide, distanciée, sur un ton sardonique. L'adjectif « sardonique » tient son nom d'une fleur, la renoncule de Sardaigne (« sardonia » ou « apium risus ») dont le goût provoque un rictus déplaisant sur le visage. Il va sans dire que « Dom Juan ou le Festin de pierre » a provoqué les mêmes réactions que cette renoncule en faisant grincer des dents le clergé de l'époque. Et bien plus que le Tartuffe, dont les trois premiers actes furent représentés devant Louis XIV en mai 1664, au cours des fêtes de l'Ile enchantée.
Personnages triés sur le volet
Le genre de la comédie, revendiqué par l'auteur, tient du jeu de la barbichette ou du poker menteur. Ce qui permet de faire passer la pilule. La contamination ironique se joue à l'échelle de toute l'œuvre. Pourquoi cette qualification de « comédie » en guise d'avertissement alors que la fin de la pièce se fonde sur un rapport tragique au monde ? En outre, l'orientation générale du propos paraît bien souvent sentencieuse, conciliant le sérieux et l'irrévérence.
La qualification du héros par le valet s'énonce par le biais de « l'argument de nomination » (Philippe Breton). Le laquais affuble son maître de toutes sortes de noms. En fait, il se contente de répéter toujours la même chose. De ressasser. L'insistance résulte de la répétition, de l'accumulation de termes dépréciatifs ou supposés tels. Il s'agit de disposer son auditoire comme il faut. Et pas seulement Gusman, l'écuyer d'Elvire. L'argument de dénomination se trouve ainsi renforcé par l'argument d'amplification. Toute l'argumentation de Sganarelle consiste à revenir sur un jugement déjà exprimé et à l'amplifier sans jamais se rétracter, à le renforcer par adjonction de termes péjoratifs, d'expressions hyperboliques. Cette manière de se montrer le plus exhaustif possible (inventaire par adjonction des vices du personnage éponyme) correspond à la figure de l'épanorthose. Celle-ci affecte le texte entier au point qu'elle le rend peu crédible. On ne saurait attacher un degré de vraisemblance à un dialogue qui relève de la boutade. Les propos goguenards de Sganarelle, cum grano salis, qui n'excluent pas l'obscénité, n'ont rien du calembour mais plutôt de la boutade en tant que tournure d'esprit souvent proche de la contre-vérité. La boutade était autrefois une petite pièce écrite en vers dans le genre de la satire. Quel est l'effet visé par le dramaturge ?
Force est de conclure que l'exorde mémorable de Sganarelle transforme le héros en icône sacrificielle. Molière multiplie les signaux, les points de connivence avec son public acquis d'avance à sa cause. Tout l'enjeu de la pièce se joue sur cette complicité de malfaisance. Tout repose sur un système subversif consistant à dissimuler autant que faire se peut une orientation idéologique.
D'un bout à l'autre de sa pièce, l'intrigue pétille de narquoise roublardise. Au milieu du XVIIème siècle, « parler narquois » voulait dire parler un jargon qui ne pouvait être entendu que par ceux qui sont d'intelligence entre eux. A l'image de l'arquin, ce soldat mendiant, qui défaisait en sifflotant les bandages de ses fausses blessures après avoir demandé l'aumône. Rien ne manque dans cette pièce, ni les traits de malice, ni les saillies de l'esprit avec un zeste de raillerie. Molière, libertin lui-même, et qui n'est pas moine comme Tirso de Molina, défie le monde religieux tout en le ménageant un peu.
L'ironie résume l'œuvre tout entière, une œuvre offensive qui s'en prend aux normes, aux conventions sociales et morales auxquelles sont aliénés les gens de l'époque.
Tout ce qui concerne le sacré devient loufoque, à commencer par l'interdiction du tabac. L'éloge du tabac cherche à abaisser, à disqualifier les interdits de l'Eglise en le tournant en ridicule. Il n'y a pas de mal à se faire du bien. Ce que reformulera plus tard Camus : « il n'y a pas de honte à préférer le bonheur » (« La peste » - 1947).
Molière, sans rien vouloir démontrer, met en scène des personnages qui ne font que caricaturer à grands traits l'esprit libertin, sans se remettre en cause. Sauf que l'arrogance du patibulaire Sganarelle patibulaire n'a rien de contagieux. Cette arrogance vise à signaler les malfaisants. Il ne dit pas les choses de façon douce. Sa rhétorique tourne le dos à l'euphémisme. Sganarelle, en frimeur survolté jubilant en scène, entraîne son auditoire dans une sulfureuse descente aux enfers, dans la fournaise du stupre. Il est sûr de son fait, comme s'il s'agissait de mettre tout le monde d'accord sur l'identité véritable de l'abominable libertin et le constat de sa dégénérescence morale. Tout y passe, avec méthode et méticulosité : les frasques de l'amour libre, les détails scabreux, les allusions attendues, l'étalage de l'intimité scatologique d'un homme qui se soumet par perversion aux instincts les plus bestiaux. Un témoignage qui claque, où l'anecdotique voisine avec l'outrage.
Le valet de Dom Juan tire un portrait aux accents accusateurs tout en tremblant devant un public qu'on devine extatique. La crainte qu'il éprouve (« la crainte en moi fait l'office du zèle... » - acte I, scène 2), par effet miroir, peut être mise en parallèle avec la paralysie du public pâlissant d'effroi. La tirade de Sganarelle rend compte du regard de toute une société. Dans cette salle du Palais Royal, les nobles courtisans du parterre devaient sentir leurs jambes flageoler. Finalement, Sganarelle n'est rien d'autre que le commanditaire d'un clergé tout puissant qui assure le verrouillage policier de la société d'alors. Il dénonce son maître sans vergogne.
Sauf que cette dénonciation aboutit au résultat inverse en mettant en avant, par empathie, un goût pour des personnages antipathiques accusés de paganisme par les religieux. L'accusation tombe d'elle-même. Le spectateur, trop bien informé déjà par le statut de Sganarelle, comprend d'emblée que le valet incarne le peuple crédule qui mêle d'ailleurs les superstitions à la croyance religieuse. Il peut douter de la hauteur de réflexion du domestique. Les paroles de Sganarelle sont privées de toute autorité scripturaire. Le personnage du valet en livrée perd son crédit dans sa toute dernière réplique où il affiche des préoccupations peu scrupuleuses de petit boutiquier : « Ah ! mes gages ! mes gages ! [...] Il n'y a que moi seul de malheureux. Mes gages ! Mes gages ! Mes gages ! ». Une dernière charge à la baïonnette contre l'immunité fiscale du clergé ? Il reste que Sganarelle s'affiche dans la scène 6 de l'acte V comme un moralisateur au service des ministres des autels, un prélat domestique dévoué au Saint-Siège, donc un allié providentiel, apostolique de l'autorité doctrinale. Emissaire de l'Eglise, coadjuteur des nonces et archevêques, il défend les intérêts du Clergé de France. Garant de la morale chrétienne, il condamne l'amour libre. Il se sent d'accord avec le glossaire du corps ecclésiastique dont il racle les fonds de cuve en pleurant le sort des « filles séduites », des « familles déshonorées », et des « femmes mises à mal » (acte V scène 6).
Le diable entre sur la scène : der Sieg über das Böse.
Les discours des uns et des autres contiennent des vérités qui ne supportent pas la moindre contradiction. Il n'est guère surprenant, dès lors, que Molière fasse surgir, à rebrousse-poil, le paradoxe, sous la forme de reparties foudroyantes. Dans son scénario, il y a d'une part ceux qui s'engagent dans une démarche de consolidation des vérités de l'Eglise, et d'autre part les mécréants qui ne respectent rien. Schéma que viendra contredire la scène du pauvre (scène 2 de l'acte III), qui relève éminemment d'une ironie toute voltairienne.
L'auteur redouble ses coups face à tout ce qui anesthésie la pensée, à tout ce qui l'endort. La faculté de penser librement, le libre arbitre sont incompatibles avec la foi. Molière semble dire à son public : ce n'est pas parce que vous êtes indignés que vous avez raison ! Voltaire reprendra la même idée dans ses « Lettres philosophiques » (1734) : « L'intérêt que j'ai à croire une chose n'est pas une preuve de l'existence de cette chose ».
Somme toute, il faut bien considérer qu'à l'époque de Louis XIV, la religion est une prescription face à laquelle on ne saurait se dérober. Avec laquelle, en tous les cas, il faut composer. Ce qui la désigne aux sarcasmes. Par son intelligence rusée, Dom Juan retourne à son profit le point de vue de ses adversaires. Le sarcasme, arc-bouté sur une posture philosophique, en tant que ressort dramatique, implique une stratégie. Fondé sur le grec sarkasmos, le mot doit son sens à une mimique consistant à ouvrir la bouche pour montrer les dents. User de sarcasmes, c'est mordre dans la chair.
Cet esprit de dérision blasphématoire impose une dissociation entre deux plans énonciatifs : il faut distinguer ce qui relève d'une part des échanges entre les personnages sur le plateau de scène et d'autre part de la relation auteur-spectateur. Les dernières répliques plutôt abâtardies de Sganarelle prétendent à un juste retour des choses en soulignant la justice de la sanction subie par son maître. Elles peuvent être mises au compte d'une ironie théâtrale (Sganarelle : « J'espérais toujours de votre salut : mais c'est maintenant que j'en désespère ; et je crois que le ciel, qui vous a souffert jusques ici, ne pourra souffrir du tout cette dernière horreur » - scène 4 de l'acte V).
Le double sens de ce propos ne peut être compris par aucun des personnages mais seulement par le public. L'intention railleuse de cette ironie « auctoriale » consiste à laisser le spectateur penser par lui-même. L'ironie intellectuelle, en période de persécution des penseurs libertins, pouvait difficilement échapper au public lettré de l'époque. Seul quelque novice borné aura la candeur d'admettre ouvertement que le châtiment de Dom Juan est exemplaire et bien mérité. La pièce, qui respire la cautèle, fut retirée de la scène par Molière lui-même après une quinzaine de représentations et ne sera jamais plus jouée de son vivant.
Dom Juan, un personnage métaphorique
Le théâtre chez Molière est une forme d'argumentation, subtile car elle mobilise l'intelligence en jouant sur ce deuxième degré. La pratique de l'ironie et du second degré est élevé au rang d'un art. Un art du combat pour désorienter, déstabiliser, dérouter, voire mettre à terre l'ennemi juré. Et Molière tourne autour de son adversaire, avec une impassibilité mature, jusqu'à trouver les failles dans les médiocres illusions des humains. Il essaye de mettre le spectateur de son côté, en faisant éclater tous les conformismes.
L'interrogation est au cœur de l'ironie socratique, toujours à l'affût des pensées à contre-courant de l'opinion de la majorité. Dans le milieu potinier de ce « palais », les défroques crapuleuses dont est paré le héros Dom Juan représentent autant de costumes de scène pour rendre compte, tout en jouant avec l'ambivalence morale, du libertinage d'esprit. La manière la plus sûre de faire aboutir ce projet de réhabilitation de l'esprit libertin consiste à amener le traître, le transfuge, à faire partie des repentis. Molière fait partie de la race des artistes qui sapent l'ordre. Cette œuvre aussi libre, aussi personnelle que sincère illustre la prétention du théâtre à vouloir changer le monde. A engendrer une nouvelle vision du monde qui permettra aux Lumières du siècle suivant de prendre leur élan.
Dom Juan incarne l'intelligence en action, qui affronte la facilité des idées toutes faites, les préjugés enracinés dans la conscience des superstitieux. C'est donc un homme dangereux. De facto, ses convictions constituent un acte d'émancipation qui repose sur des idées proches de celles de la Révolution française.
La fabrique du personnage repose sur un rapprochement, une ellipse d'analogie. Une analogie qui oscille « entre la ressemblance qu'elle signifie et la dissemblance qu'elle enjambe » (Philibert Secretan). Tout le personnage de Dom Juan, entouré de ses meilleurs détracteurs, est construit par opposition radicale aux relations que chacun doit entretenir - dans le contexte particulier de l'auditoire du siècle de Louis XIV - avec la tutelle divine : respect, soumission et reconnaissance de l'autorité.
Conclusion
Le registre affiché, celui de la « comédie », ne procède certainement pas d'une intention burlesque : l'œuvre est marquée du fer rouge des choix philosophiques de Molière. L'ironie, figure par excellence de l'inversion, opère un renversement de perspective : toutes les activités de parole dans cette pièce reposent sur le simulacre. Pas surprenant que la fin de l'intrigue mette en scène, elle aussi, un simulacre. D'où le sous-titre, le « Festin de pierre », qui oblige au même décryptage. L'humour noir affleure dans l'épilogue. Comme le prétendait Otto Julius Bierbaum [1865-1910], « humor ist, wenn man trotzdem lacht ». Et on peut rire, en effet, de la représentation de la mort dans la scène 5 de l'acte V.
Quel autre but s'est proposé Molière, sinon de réactiver la « mémorialité » du libertinage philosophique dans le mouvement de l'histoire ? Dans cette confrontation au vide, Molière se montre sincère en donnant à voir le sort de ceux qui n'ont pas choisie la voie tracée. Dom Juan, un homme à femmes ? Un libertin patenté - l'opéra de Mozart fera tenir le registre de ses innombrables conquêtes - poursuivant les femmes de ses assiduités ? Un roué condamné à une exécution aussi expéditive qu'une lettre de cachet ? Ou bien un acteur essentiel d'une mutation historique profonde ? Le libertinage philosophique, une théologie du nihilisme le plus lucide, hante l'esprit de Sganarelle ou de Dom Louis.
Dom Juan est un être complexe qui inspire bien d'autres sentiments que le mépris de Sganarelle. Il se livre à un jeu radicalement aristocratique en ferraillant de bout en bout avec les franges puritaine de la société, en se plaçant dans le camp des esprits forts, des imbattables, de ceux qui savent perdre avec classe. Face à une Eglise catholique intolérante, il bouscule le contrôle social exercé par le clergé omnipotent. Les prêtres de paroisse n'accordent pas plus de libertés sexuelles aux femmes qu'ils ne reconnaissent l'homosexualité. Dom Juan ne cesse d'affirmer ses choix, infiniment supérieurs aux lubies de ses détracteurs. Celui des amours hédonistes... En définitive, les joutes amoureuses se mêlent aussi au combat des idées. Molière place face à face l'hédonisme et le puritanisme. Dans la scène IV de l'acte IV, Dom Louis tente d'amener son fils à résipiscence. La fin de la pièce ne verra ni conversion, ni rédemption et surtout pas de repentance. Dom Juan meurt dans un feu de braises ardentes. Ce qui peut rappeler, de loin, l'interdiction de la crémation par l'Eglise. La dépouille mortelle de Dom Juan n'aura droit à aucune sépulture dans les jardins mortuaires (tout comme celle de Molière), ni à aucune messe de requiem. En revanche, la pièce en elle-même est une manière pour Molière de célébrer pontificalement la grandeur de son héros. Un esprit libre qui sape à la racine les gardiens du dogme. Le fait de tomber au combat pour ses idées n'est-il pas un geste héroïque ? Et puis, plus fondamentalement, pour Dom Juan, le corps vaut plus que l'âme. Ce qui revient à proclamer la primauté de la vie sur l'au-delà, de la liberté sur la soumission, de la jouissance sur la promesse d'une béatitude éternelle. Molière casse le monopole du discours religieux en mettant en avant l'indéniable charisme de son personnage. La dignité apostolique est peut-être sauve. Un schisme étouffé vaut bien la paix du royaume. Ce que concèdera Goethe : « Lieber eine Ungerechtigkeit begehen als Unordnung ertragen ». Il vaut mieux une grande injustice qu'un petit désordre ... Mais ceci dit, la préséance du clergé est clairement mise en cause dans la pièce. Une pièce écrite, incontestablement, dans un réel climat d'adversité. Molière n'est pas Tirso de Molina. Et sous le règne de Louis XIV, le clergé fait partie des Etats Généraux et donc de l'ordre politique, avec l'objectif de combattre le paganisme.
La pièce « Dom Juan ou le Festin de Pierre », à n'en pas douter, sert de stèle commémorative à l'hérésie qui tente de se frayer un chemin dans le matériau théâtral. Si l'on part du principe que la pensée libre est une hérésie...
Œuvres littéraires sur le même thème :
* « Jacques le fataliste », « La Religieuse » de Diderot [1713-1784]
* « Les liaisons dangereuses » de Pierre Choderlos de Laclos (1782)
* « La Religieuse », film de Jacques Rivette, tourné à la Chartreuse d'Avignon, (avec Anna Karina dans le rôle de Suzanne Simonin et Micheline Presle), censuré par le Secrétaire d'Etat à l'Information Yvon Bourges qui prononcera l'interdiction de diffusion 1eravril 1966.

Sujet de dissertation
La tragédie prend naissance lorsqu'on ne peut ni avancer ni reculer. Qu'en pensez-vous ?
Lien avec l'étude de tous les textes en classe
Le groupement de 4 textes
Analyse et axes de lecture du texte 1
Analyse et axes de lecture du texte 2
Analyse et axes de lecture du texte 3
Analyse et axes de lecture du texte 4
Confrontation des pièces "Dom Juan" et "Rhinocéros" :
https://bmirgain.skyrock.com/3246661674-GRILLE-DE-LECTURE-DOM-JUAN-RHINOCEROS-COMPARAISON-DES-PERSONNAGES-DANS.html
Synthèse sur l'angle d'approche de "Dom Juan" de Molière :
Liens avec d'autres études sur le libertinage :
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Adresses du jour : la cinémathèque des réalisateurs
https://www.lacinetek.com/fr/3-tous-les-films
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Lecture conseillée
*"L'ironie mise en trope. Du sens des énoncés hyperboliques et ironiques". Laurent Perrin. Editions Kimé. 1996
*Le travail des morts" de Thomas W. Laqueur. Editions Gallimard. 2018
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